Ce lundi 15 mai 2017, le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso a procédé à la mise en production de Moho Nord, un gigantesque projet pétrolier dont la production journalier est de 140.000 barils ce qui va booster, dès 2018, la production du Congo à plus de 350.000 barils par jour et des perspectives économiques du pays.
Moho Nord est situé à 75 Km au large de Pointe-Noire a été franchi en décembre 2015 dans sa première phase. Ce qui a augmenté la capacité de production de l’unité de production Alima de 40.000 barils par jour. Aujourd’hui, avec cette deuxième étape, dont le démarrage a eu lieu en mars dernier, a été mise en production par le Chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, le projet ajoute une nouvelle capacité de 100.000 barils par jour. Désormais, le projet Moho Nord permet d’atteindre une capacité de production globale de 140.000 barils par jour.
A noter que Mono Nord est le plus important projet pétrolier jamais réalisé en République du Congo. Vitrine de l’excellence opérationnelle du Groupe en mer profonde, ce projet conforte la position de leader en Afrique. Par ce projet, le Congo amorce une étape importante dans la valorisation des ressources en eaux profondes, au service de la croissance énergétique et économique.
MOHO Nord s’offre au pays comme un puissant levier de développement. A en croire les différents personnalités qui ont pris la parole, Moho Nord est un projet à multiples objectifs ; la mobilisation d’entreprises locales, les investissements réalisés dans des outils de production durable, la formation des cadres et d’ingénieurs spécialisés. Ce qui ouvre au pays de nouvelles perspectives.
Selon Jean Marc Thystère Tchicaya, ministre congolais des hydrocarbures, « avec une capacité de production journalière de 140.000 barils, Moho Nord permet au Congo d’aller vers les développements innovants. Puisqu’il est mené dans le respect des exigences de sécurité, de qualité d’exécution et de protection de l’environnement les plus élevées. »
Quant au PDG Total E&P Congo, Patrick Pouyanné « Moho Nord représente un défi technologique majeur pour le pays. »
L’impact environnemental et social
Selon les responsables de la société Total E&P Congo, Les installations de Moho-Nord ont été conçues pour ne brûler aucun gaz, en conditions normales d’exploitation. Le signe le plus visible est l’absence de flamme permanente à la torche, grâce à une technologie innovante d’allumage automatique, en cas de besoin, a affirmé le manager de Total. Ce qui est une nouveauté au Congo est que le gaz associé à la production de pétrole est réinjecté ou utilisé pour alimenter en partie la génération électrique. L’exploitation de Moho-Nord obéit aux normes de respect de l’environnement, a-t-il ajouté.
Moho Nord en maintenir les installations à un niveau d’efficacité énergétique, avec ceci de spécifique qu’il limite les émissions de gaz à effet de serre à travers une gestion centralisée de l’ensemble des besoins énergétiques, unité de récupération des gaz d’évent et dispositif de récupération de chaleur et fumées produites par les turbos générateurs.
La réinjectée dans les réservoirs de la totalité des eaux de production de Moho Nord est un autre bénéfice dans le respect de l’environnement, a expliqué le manager de Total qui a précisé que cette technique a un double objectif : maintenir en pression les réservoirs pour optimiser la récupération de pétrole et éviter tout rejet à l’océan, même après traitement.
Comme impact social de Moho-Nord, on retiendra la construction d’une école à la dimension du projet, à Kintélé, dans la banlieue Nord de Brazzaville. Un protocole d’accord y relatif a été d’ailleurs signé, en présence du chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, entre le gouvernement congolais, l’association terre d’école, les opérateurs Total et Chevron ainsi que les partenaires de Moho Nord. Cette signature est intervenue juste après la cérémonie de mise en production du projet.
Il sied de noter que Total opère ce projet avec une participation de 53,5 %, à côté de Chevron Overseas (Congo) Limited (31,5 %) et la Société nationale des pétroles du Congo (15 %).
Rwanhe Darwin
A noter que Mono Nord est le plus important projet pétrolier jamais réalisé en République du Congo. Vitrine de l’excellence opérationnelle du Groupe en mer profonde, ce projet conforte la position de leader en Afrique. Par ce projet, le Congo amorce une étape importante dans la valorisation des ressources en eaux profondes, au service de la croissance énergétique et économique.
MOHO Nord s’offre au pays comme un puissant levier de développement. A en croire les différents personnalités qui ont pris la parole, Moho Nord est un projet à multiples objectifs ; la mobilisation d’entreprises locales, les investissements réalisés dans des outils de production durable, la formation des cadres et d’ingénieurs spécialisés. Ce qui ouvre au pays de nouvelles perspectives.
Selon Jean Marc Thystère Tchicaya, ministre congolais des hydrocarbures, « avec une capacité de production journalière de 140.000 barils, Moho Nord permet au Congo d’aller vers les développements innovants. Puisqu’il est mené dans le respect des exigences de sécurité, de qualité d’exécution et de protection de l’environnement les plus élevées. »
Quant au PDG Total E&P Congo, Patrick Pouyanné « Moho Nord représente un défi technologique majeur pour le pays. »
L’impact environnemental et social
Selon les responsables de la société Total E&P Congo, Les installations de Moho-Nord ont été conçues pour ne brûler aucun gaz, en conditions normales d’exploitation. Le signe le plus visible est l’absence de flamme permanente à la torche, grâce à une technologie innovante d’allumage automatique, en cas de besoin, a affirmé le manager de Total. Ce qui est une nouveauté au Congo est que le gaz associé à la production de pétrole est réinjecté ou utilisé pour alimenter en partie la génération électrique. L’exploitation de Moho-Nord obéit aux normes de respect de l’environnement, a-t-il ajouté.
Moho Nord en maintenir les installations à un niveau d’efficacité énergétique, avec ceci de spécifique qu’il limite les émissions de gaz à effet de serre à travers une gestion centralisée de l’ensemble des besoins énergétiques, unité de récupération des gaz d’évent et dispositif de récupération de chaleur et fumées produites par les turbos générateurs.
La réinjectée dans les réservoirs de la totalité des eaux de production de Moho Nord est un autre bénéfice dans le respect de l’environnement, a expliqué le manager de Total qui a précisé que cette technique a un double objectif : maintenir en pression les réservoirs pour optimiser la récupération de pétrole et éviter tout rejet à l’océan, même après traitement.
Comme impact social de Moho-Nord, on retiendra la construction d’une école à la dimension du projet, à Kintélé, dans la banlieue Nord de Brazzaville. Un protocole d’accord y relatif a été d’ailleurs signé, en présence du chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, entre le gouvernement congolais, l’association terre d’école, les opérateurs Total et Chevron ainsi que les partenaires de Moho Nord. Cette signature est intervenue juste après la cérémonie de mise en production du projet.
Il sied de noter que Total opère ce projet avec une participation de 53,5 %, à côté de Chevron Overseas (Congo) Limited (31,5 %) et la Société nationale des pétroles du Congo (15 %).
Rwanhe Darwin