Avec la précieuse participation du Ministère des affaires étrangères et du développement, le Ministère de l'économie et des finances a organisé dans ses locaux à Paris, du 26 au 28 octobre, les journées dénommées: « AMBITION AFRIQUE NUMERIQUE ».
![MINISTERE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES : JOURNEES « AMBITION AFRIQUE NUMERIQUE » : LES ENTREPRISES FRANCAISES ET AFRICAINES MAIN DANS LA MAIN]( "MINISTERE DE L'ECONOMIE ET DES FINANCES : JOURNEES « AMBITION AFRIQUE NUMERIQUE » : LES ENTREPRISES FRANCAISES ET AFRICAINES MAIN DANS LA MAIN")
Durant ces trois jours les différents experts, des institutionnels, des entreprises africaines et françaises et autres acteurs du numérique ont eu à échanger dans une bonne ambiance sur pratiquement tous les aspects liés au développement du numérique en Afrique.
Plaidoyers pour une Afrique numérique
En chef de file de ces hérauts du numériques qui ont fait leurs plaidoyers, Axelle Lemaire, la secrétaire d'Etat au Numérique et à l'Innovation, a beaucoup insisté, dans ses interventions, sur la croissance, la confiance et l'inclusion dans ce processus qui conduirait l'Afrique à s'épanouir en numérique. Forte de son succès, du fait que la loi pour une République numérique a été votée à l'unanimité fin septembre au Sénat et dans la foulée promulguée le 7 octobre, la ministre reste optimiste que ces journées vont porter leurs fruits. Optimisme partagé par son collègue du gouvernement, André Vallini, Secrétaire d'Etat au Développement et à la Francophonie dans sa brillante intervention qui brosse aussi les enjeux du sujet. Et par les différents participants africains et français qui pensent cependant, à juste titre, que l'essor de l'Afrique numérique est étroitement lié à l'énergie.
Des recommandations suggérées
Les participants ont travaillé au sein de quatre ateliers thématiques d'où a jailli davantage la lumière sur les divers obstacles que l'Afrique doit franchir avec ses partenaires français pour parvenir à son but. Il s'agit des ateliers: Infrastructures du numérique ; Services gouvernementaux; Services pour l'économie (transformation digitale et e-services) et Contenu numérique et francophonie numérique. A l'issue de ces rencontres les participants ont formulé quelques recommandations importantes telles développer le financement public et privé du numérique, assurer une prospérité au numérique, favoriser l'accès au numérique pour tous sur le continent dont il faut former la jeunesse, les femmes bref aider les compétences humaines à éclore pour renforcer l'expertise africaine; coordonner l'Afrique numérique c'est-à-dire faciliter le développement de l'économie du numérique en mutualisant les expériences, les acquis et les politiques, développer les énergies, les réseaux et les infrastructures numériques (data-centers, incubateurs)... Tout cela sera porté à la connaissance des chefs d'Etat et de gouvernements en propositions d'actions au Sommet de Bamako de Janvier 2017. En tout cas le programme pour l'Afrique à l'horizon 2030 est très alléchant car le numérique inclusif, selon la ministre Axelle Lemaire, est un puissant amplificateur économique.
Toussaint Adjati
Plaidoyers pour une Afrique numérique
En chef de file de ces hérauts du numériques qui ont fait leurs plaidoyers, Axelle Lemaire, la secrétaire d'Etat au Numérique et à l'Innovation, a beaucoup insisté, dans ses interventions, sur la croissance, la confiance et l'inclusion dans ce processus qui conduirait l'Afrique à s'épanouir en numérique. Forte de son succès, du fait que la loi pour une République numérique a été votée à l'unanimité fin septembre au Sénat et dans la foulée promulguée le 7 octobre, la ministre reste optimiste que ces journées vont porter leurs fruits. Optimisme partagé par son collègue du gouvernement, André Vallini, Secrétaire d'Etat au Développement et à la Francophonie dans sa brillante intervention qui brosse aussi les enjeux du sujet. Et par les différents participants africains et français qui pensent cependant, à juste titre, que l'essor de l'Afrique numérique est étroitement lié à l'énergie.
Des recommandations suggérées
Les participants ont travaillé au sein de quatre ateliers thématiques d'où a jailli davantage la lumière sur les divers obstacles que l'Afrique doit franchir avec ses partenaires français pour parvenir à son but. Il s'agit des ateliers: Infrastructures du numérique ; Services gouvernementaux; Services pour l'économie (transformation digitale et e-services) et Contenu numérique et francophonie numérique. A l'issue de ces rencontres les participants ont formulé quelques recommandations importantes telles développer le financement public et privé du numérique, assurer une prospérité au numérique, favoriser l'accès au numérique pour tous sur le continent dont il faut former la jeunesse, les femmes bref aider les compétences humaines à éclore pour renforcer l'expertise africaine; coordonner l'Afrique numérique c'est-à-dire faciliter le développement de l'économie du numérique en mutualisant les expériences, les acquis et les politiques, développer les énergies, les réseaux et les infrastructures numériques (data-centers, incubateurs)... Tout cela sera porté à la connaissance des chefs d'Etat et de gouvernements en propositions d'actions au Sommet de Bamako de Janvier 2017. En tout cas le programme pour l'Afrique à l'horizon 2030 est très alléchant car le numérique inclusif, selon la ministre Axelle Lemaire, est un puissant amplificateur économique.
Toussaint Adjati